
La marque dispose d’un réseau de sites (ex : lrds.fr ; lrds.es ; lrds.be ; …) mais au fur et à mesure du temps ; force est de constater qu’ils ne répondent pas aux besoins. Mais la faute à qui ?
Parfois l’agence, qui n’a pas intégré les problématiques de maintenance au lancement et qui au bout du compte demande des sommes importantes pour maintenir, faire évoluer et protéger le réseau de sites.
Parfois le client, parce qu’il s’est embarqué dans une stratégie de réseau de sites sans avoir la capacité de les faire vivre. On met ici en évidence un manque de ressources humaines. Par exemple :
- Un responsable marketing qui décide de la ligne éditoriale
- Un rédacteur / community manager qui produira les contenus
- Un traducteur (ou une agence) pour gérer les contenus internationaux
- …
Mais surtout, Google, qui propose impose de nouveaux formats (AMP), fourni des standards (Rendu Mobile), exige aux éditeurs de faire des sites plus performants, plus sécurisés (HTTPS), plus riches en contenus, plus, plus, plus …
Suivre les règles dictées par Google, une vraie contrainte !
Le risque de gérer des sites sous plusieurs domaines / sous domaines ainsi que sur plusieurs CMS est de se faire dépasser par les besoins d’évolutions côté SEO.
On se retrouve ainsi avec quelques sites dont le CMS est à jour, d’autres non. Conséquences
- Certains modules fonctionnent sur le site-A et le site-B, mais pas sur le site-C et site-D
- L’internaute ne comprend plus la cohérence de la marque entre ses différents sites
On se retrouve avec la mauvaise version du site positionnée sur google.fr (exemple la home page Américaine se positionne mieux que la Française) car la gestion des langues est chaotique.
Finalement il est décidé de ne plus faire évoluer les sites car la mécanique est trop complexe. A long terme, l’expérience utilisateur n’évolue pas avec les normes, il n’y a plus de contenus frais et Google déclasse progressivement chaque site. (Pire, on ne s’en rend pas compte [ou trop tard !] car l’outil mis en place pour contrôler les mots clés n’a pas été configuré sur chaque nom de domaine… )
La marque dispose d’un réseau de sites (ex : lrds.fr ; lrds.es ; lrds.be ; …) mais au fur et à mesure du temps ; force est de constater qu’ils ne répondent pas aux besoins. Mais la faute à qui ?
Parfois l’agence, qui n’a pas intégré les problématiques de maintenance au lancement et qui au bout du compte demande des sommes importantes pour maintenir, faire évoluer et protéger le réseau de sites.
Parfois le client, parce qu’il s’est embarqué dans une stratégie de réseau de sites sans avoir la capacité de les faire vivre. On met ici en évidence un manque de ressources humaines. Par exemple :
- Un responsable marketing qui décide de la ligne éditoriale
- Un rédacteur / community manager qui produira les contenus
- Un traducteur (ou une agence) pour gérer les contenus internationaux
- …
Mais surtout, Google, qui propose impose de nouveaux formats (AMP), fourni des standards (Rendu Mobile), exige aux éditeurs de faire des sites plus performants, plus sécurisés (HTTPS), plus riches en contenus, plus, plus, plus …
Suivre les règles dictées par Google, une vraie contrainte !
Le risque de gérer des sites sous plusieurs domaines / sous domaines ainsi que sur plusieurs CMS est de se faire dépasser par les besoins d’évolutions côté SEO.
On se retrouve ainsi avec quelques sites dont le CMS est à jour, d’autres non. Conséquences
- Certains modules fonctionnent sur le site-A et le site-B, mais pas sur le site-C et site-D
- L’internaute ne comprend plus la cohérence de la marque entre ses différents sites
On se retrouve avec la mauvaise version du site positionnée sur google.fr (exemple la home page Américaine se positionne mieux que la Française) car la gestion des langues est chaotique.
Finalement il est décidé de ne plus faire évoluer les sites car la mécanique est trop complexe. A long terme, l’expérience utilisateur n’évolue pas avec les normes, il n’y a plus de contenus frais et Google déclasse progressivement chaque site. (Pire, on ne s’en rend pas compte [ou trop tard !] car l’outil mis en place pour contrôler les mots clés n’a pas été configuré sur chaque nom de domaine… )
